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Anthony Gelot

Par Alexandre Clappier

 

 

BIO

 

MATERIEL

 

PLUS

Anthony Gelot

38 ans


A.G. Photographe

 

Photographe amateur

 

Réside à Paris, France
 

Nikon D800

16mm 2.8 fisheye Nikon

14-24mm &  24-70mm 2.8 Nikon

35mm & 85mm 1.4 Nikon

70-200mm 2.8 VR II Nikon

Flash SB-910 Nikon

Pied Manfrotto 190 XPROB

Oloneo PhotoEngine

 

facebook.com/AG.photographe

 

flickr.com/photos/anto13

 

 

 

 

Toutes les images © Anthony Gelot

 

 

Un nouveau regard sur Paris

On a beau avoir vu des milliers de photos de Paris, on se rend compte qu’il est encore possible de réussir le difficile pari d’en offrir une vision renouvelée, tant du point de vue des sujets photographiés que du style.

 

Anthony Gelot, jeune photographe amateur, explore inlassablement la Ville Lumière et en ramène des images captivantes qui mettent en scène la grande variété de son architecture, la subtilité de ses ambiances lumineuses et l’intensité de ses perspectives.


 

 

De la première photo...

Plus connu sous le nom d’AG Photographe, Anthony Gelot est originaire du sud de la France, parisien depuis quatorze ans et photographe amateur depuis six ans. Six ans seulement ? Oui, mais ça ne l’empêche pas, bien au contraire, de commencer à se faire un nom grâce à une technique et un style de grande qualité.

 

 « La naissance de ma fille a été le point de départ de cette passion car j’ai  voulu prendre de « belles photos » d’elle, pas juste avec mon portable. J'ai commencé avec un bridge Panasonic FZ50, puis le D300 de Nikon, je suis ensuite vite passé au D700 et au D800 maintenant ».

 

 

… à la dix-millième : amateur ou professionnel ?

« Je suis un photographe amateur et souhaite le rester ».

 

Anthony, dont la profession est très éloignée de la photo, préfère conserver sa liberté, ne pas dépendre de la photographie pour vivre et pouvoir photographier ce qu’il veut et quand il le veut. La photographie, bien qu’une passion, reste donc avant tout un hobby.

 

 

Photographie HDR : art ou technique

« J’ai d’abord été attiré par le côté « flashy » du style HDR, ces rendus hyper saturés qui donnent presque l’impression que les photos sont en fait des peintures ».

 

Acquérant de plus en plus de savoir-faire, Anthony s’est vite rendu compte de l’intérêt technique de la photo en haute dynamique qui permet d’exposer une photo de façon optimale, sans perdre de détails dans les zones de haute ou de basse lumière. « Mon style s’est ensuite assagi, évoluant vers un rendu HDR plus naturel même si quelques fois je me lâche encore un peu ».

 

 

Anthony et PhotoEngine

« J’utilise PhotoEngine très régulièrement, ainsi que d’autres produits. De façon générale, 90% de mes images sont traitées avec ce logiciel ».

 

Ce qu’Anthony préfère dans PhotoEngine : « la facilité pour obtenir un rendu HDR très naturel en seulement quelques clics, la gestion des couleurs et du bruit numérique qui sont tous deux formidables. Et n’oublions pas l’excellente balance des blancs qui permet d’avoir un rendu très réaliste dès la création du HDR ».

 

 

Architecture en général, Paris en particulier

Quand on lui parle de thèmes et de sujets photo, Anthony répond : « je suis un photographe « indépendant » au premier sens du terme, c’est-à-dire que je ne veux pas m’enfermer dans telle ou telle spécialité. »

 

« Cela étant dit, j’ai un intérêt qui me porte naturellement vers la photo d’architecture, ainsi que l’automobile quand de beaux modèles se présentent. Et bien entendu, Paris reste l’un de mes sujets favoris ! »

 

 

Inspirations et influences

« Le photographe qui m’a le plus influencé à mes débuts est certainement Eric Rousset, un photographe pro de très grand talent qui m’a appris énormément sur la technique HDR ».

 

Par la suite, Anthony a été amené à rencontrer et estimer d’autres photographes reconnus pour leurs photos HDR : Elia Locardi, Danny Xeero et Daniel Cheong.

 

 

Habitudes, trucs et astuces

« Mes heures préférées sont le lever et le coucher du soleil (l’heure bleue notamment), ce qui explique que j’ai toujours avec moi un pied photo (plutôt lourd)  car mes temps de pose sont souvent assez longs ». En plus de ce pied Manfrotto qui ne le quitte jamais, Anthony emmène toujours avec lui l’intégralité de ses objectifs : « je ne sais jamais à l’avance de quels objectifs je vais avoir besoin. Cela dépendra du sujet bien sûr, mais aussi de l’ambiance lumineuse au moment où je cherche à faire ma photo, etc. ».

 

Autre constante : « Je brackete toutes mes images, systématiquement. Et en moyenne cinq à neuf expositions par photo. La raison ? Je sais rarement au moment de la photo ce que je vais en faire au niveau du traitement. Deux expositions valent mieux qu’une ! »